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Ce 13ème album studio est réalisé conjointement par Nicola et Oli de Sat. Pendant plusieurs mois, les pièces du puzzle de ce disque, le plus mystérieux et le plus envoûtant d'Indochine, s'assemblent. Quelques invités prestigieux participent à cet opus en tant que co-auteurs, interprètes ou co-compositeurs. Le mixage s'est fait à Los Angeles dans le studio personnel de Mick Guzauski (Daft Punk, Pharrell Williams, Jamiroquai, Talking Heads) et le mastering a été fait par Chab (Daft Punk, Air, Kavinsky, Woodkid... ). Erwin Olaf, un des plus grands photographes contemporains, a réalisé la pochette.

Les Innocents présentent 6 1/2, un sixième album et demi, brut de matières premières. On l'imagine joué dans une maison de famille baignée de lumière, au vieux parquet solide, égratigné par le temps. Un album porté par ses précédents, fort de quatre mains instrumentales, d'une double plume artistique. Les Innos pour de vrai, intimes et cohérents et cette jolie perspective de dix titres à écouter en boucle.

Grégoire, c'est 5 albums produits en seulement 7 ans et plus de 2 millions d'albums vendus. Le chanteur revient ici avec de nouvelles compositions. Son premier single, C'est quand, fut une véritable ode à l'amour avec un refrain aussi entêtant qu'avait pu l'être le cultissime Toi + moi. Après Si tu m'emmènes, second single de cet opus, Grégoire nous fait découvrir le titre Une lettre, chanson pop électro, inspirée notamment des rythmiques de Stolen dance de Milky Chance et des ambiances de Kygo, le tout accompagné d'un texte qui parle à tout le monde. Grégoire démontre, une fois encore, qu'il manie toujours aussi bien l'art de la ritournelle imparable.

Lady Sir, c'est la rencontre de deux artistes aux visages multiples : Rachida Brakni et Gaëtan Roussel. Le duo propose son premier single, Le temps passe, ritournelle entêtante, à deux voix, qui revisite la chanson consciente de chez nous. Son clip, réalisé par Jean Gabriel Périot à partir de documentaires et d'actualités en France dans les années 60 - et forcément beaucoup en mai 68 ! - est une lecture quasi onirique de la chanson. Avec ses séquences de manifestations, grèves, occupations d'usines mais aussi ses visages graves, émouvants, combatifs, le clip montre qu'à l'instar de la chanson qui se joue du temps, ces images d'une époque révolue résonnent encore fortement dans notre imaginaire contemporain, appellent une énergie collective.

Cette compilation célèbre le 30e anniversaire du Suprême NTM et retrace d'une très belle manière la discographie authentique, hardcore et engagée de ces deux figures de la Seine-Saint-Denis. Inclus : 2 remixes inédits de Ma Benz et Back dans les bacs mais aussi les hits La fièvre, That's my people, Pass pass le oinj...

Ce disque est né un peu par hasard, un peu par jeu, entre deux auteurs-compositeurs-interprètes qui ne se connaissaient pas mais qui avaient déjà beaucoup en commun dans l'amour qu'ils portent aux mots, et à une forme de composition artisanale qui se tient rêveuse à la marge des tendances. Baptiste W. Hamon dans le coeur battant de Paris et Julien Barbagallo (Aquaserge, Tame Impala) dans l'arrière-pays luxuriant de la Sunshine Coast en Australie. Barbaghamon est une petite boîte à musique dans laquelle nos deux compères se livrent à une chorégraphie joyeuse, où leurs inspirations tantôt se suivent, tantôt se croisent, se meuvent côte-à côte ou bien s'étreignent. Barbaghamon est un "split album", un album partagé, de partage et à partager.

Réalisé par Yarol Poupaud, génial guitariste de FFF et directeur musical de Johnny Hallyday, cet album présente onze chansons du crooner voguant, classe et décontracté, entre pop, chanson française et reggae.

BERCY 2003 : à quelques jours de Noël ces quatre dates 15,16, 20 et 21 décembre concluent la tournée 'Plus près de vous' dans une ambiance magique. Johnny offre pour la 1ère fois en concert un bijou de 1977, 'Le coeur en deux'.

Cinq ans après Combats ordinaires, il est de retour ! Le premier single, Viens, a été écrit et composé par le groupe Boulevard des Airs, résolument encré dans l'air du temps. Pour ce douzième album, Yannick Noah s'est associé à deux réalisateurs prestigieux : Nino Vella (Black M, Arcadian, Boostee) et Marlon B (Juliette Armanet, M, Brigitte). Avec Bonheur indigo il chante le nuancier du bonheur. Message reçu, on danse avec lui !

Juliette Armanet présente un opus solaire, émouvant et dansant pour lequel elle a choisi de s'entourer des meilleurs producteurs tel que SebastiAn (Daft Punk, Frank Ocean, Charlotte Gainsbourg), Julien Delfaud (Superdiscount, Phoenix, Sébastien Tellier), Yuksek (Lykke Li, Brodinsky), Victor Le Masne (Gaspard Augé, Kavinsky) et Marlon B.

Cet album de Cali est une immersion dans des moments forts vécus avec des êtres chers, des femmes essentiellement, parties, quittées, envolées... Toutes de précieux fantômes. Dans ces huis-clos, l'univers acoustique est intimiste. Nous sommes plus que dans la confidence : Cali se livre à coeur ouvert. Musicalement, il s'accroche à ses racines et nous les livre, de Johnny Cash à Springsteen. L'Irlande affleure sous la surface. Le violon de Steve Wickham des Waterboys promène sa magie sur l'ensemble de l'album. C'est chez lui que Cali a enregistré cet album. Chaque morceau est le fruit d'une unique prise. Chaque morceau nous donne à entendre l'émotion originelle.

En 2014, le français sortait deux EP remarqués, Glitter glaze et Mars balnéaire, qui lui ouvrent les premières parties de Christine and the Queens lors de sa tournée des Zéniths français. Un an plus tard, Flavien Berger sort son premier album, Léviathan, qu'il accompagne d'une tournée marathon. Alors qu'il se consacre à l'écriture de son deuxième album, Contre-temps, Flavien multiplie les collaborations : des expérimentations avec le Collectif sin, un featuring sur l'album d'Etienne Daho, une reprise sur la compilation d'hommage à Yves Simon ou encore un remix par le duo Paradis. Son 2e album, qui utilise les codes de la musique électronique et de la chanson, confirme le statut à part de Flavien Berger, un artiste fascinant qui souffle un grand vent de modernité dans la pop française.

Remarqué aux Transmusicales de Rennes en décembre 2016 avant de remporter le Prix du Printemps de Bourges en avril, le jeune Eddy de Pretto apporte un souffle inédit à la nouvelle scène française. Son premier album, est produit par Kyu Steed & Haze (Booba, PNL, Action Bronson, MHD.). Débarqué de Créteil, il cite aussi bien Frank Ocean, Kanye West que Claude Nougaro parmi ses influences. Il défriche des territoires inconnus où les thèmes et les sonorités qu'il emprunte au rap disputent l'espace aux grands noms de la chanson française. Son verbe sans filtre, âpre et sexuel, convoque la nuit, la fête et la drogue sans aucun artifice. Eddy de Pretto, c'est la chanson française qui fait un pas de côté et le rap français qui n'a désormais plus peur d'être sensible, de redevenir conscient.

Les groupes français à avoir vendu plus de 2 millions de disques sont rares. Kyoen fait partie. Au début des années 2000, Kyo rafle tout sur son passage avec leur album "Le chemin". Aujourd'hui, Benoît, Florian, Nicolas et Fabien reviennent avec un nouvel album intense, prenant et authentique : "Dans la peau" ; 3 ans après avoir touché "Le Graal", single qui a porté l'album "L'équilibre" au-delà des 20 millions de streams et des 100 000 ventes physiques. Kyo nous rappelle une fois encore que ces trois lettres font parties de notre ADN. Une nouvelle fois, c'est avec une musicalité sobre et intense portée par l'identité vocale singulière de son leader, que Kyo nous interpelle avec leur premier single "Ton mec". La signature pop unique du groupe et son efficacité mélodique ravivent les traces de nos émotions, et sans nostalgie. C'est assurément l'album d'un Kyo qui nous emmène sur des repères qui nous parlent plus que jamais.

Après leur premier album certifié triple disque de platine, les Fréro Delavega reviennent avec un nouvel album. Le premier extrait de ce nouvel opus, "Ton visage", s'est immédiatement classé #4 sur iTunes. On retrouve sur "Des ombres et des lumières" la plume si reconnaissable des deux amis, mais aussi des titres écrits par Tété, Barcella, Ben Mazué ou encore Lamarca.

Divergent : "Qui va, à partir d'un point commun ou voisin, en s'écartant vers des directions différentes". Cet album d'Anaïs porte bien son nom, car son truc a elle c'est de nous plonger dans ses personnages, aux histoires et aux styles complètement divergents. On passe d'une jam de jazz à Brooklyn à du swinging 60's, on pleure comme si on était dans une comédie romantique américaine avec la pluvieuse ballade And I hold my lamp, et on rigole au duo hystérique avec elle-même, Schizoprenia. Très pop, très soul, elle se permet même quelques histoires en anglais ou dans les deux langues.

Il faut avoir assisté à un de ses concerts pour comprendre l'hystérie collective qui s'empare du public en cette année 1971. Le chanteur a toujours provoqué cette admiation, cette sorte de fascination qui galvanise les foules.

Deux ans après un 1er album intitulé Il suffit d'y croire, celle que l'on qualifie de nouvelle "étoile" de la chanson française (référence à son nom de scène qui signifie étoile en japonais) présente son 2e opus. C'est dans le tourbus d'une tournée de plus de 140 dates à travers la France que naît cet album baptisé Sommeil levant. A présent âgée de 23 ans, Hoshi a su acquérir une maturité qu'elle met en exergue avec brio dans 14 nouvelles compositions qu'elle signe intégralement de son statut d'autrice-compositrice-interprète. Elle y aborde des thèmes plus personnels sur des mélodies résolument modernes, dans lesquelles on retrouve des influences tantôt plus urbaines, tantôt plus électroniques, sans trahir l'essence pop-rock qui lui a ouvert les portes du succès. Parmi ces 14 titres, Hoshi nous embarque dans un voyage coloré entre ses souvenirs d'enfance (SQY, Enfants du danger), ses blessures personnelles (Amour censure, Bouche de métro, Marche ou rêve), et ses premiers pas dans la vie d'artiste (Sommeil levant, Fais-moi signe).